Par J. RIVOIRE

Par J. -M. ARPI

Le premier acte des registres d’Orliénas remonte à 1572. On relève dans les registres la coutume des « royaumes », l’intérêt pour le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, des faits d’actualité locale, le livre de la « luminaire ».

Par J. RIVOIRE

Nicolas Romier (1729-1802) a noté ses observations dans les registres paroissiaux : phénomènes météorologiques, culture de la vigne, exploitation des eaux thermales. Emprisonné à la Révolution, il fut libéré à la demande de la municipalité.

Par J. -M. ARPI

La Garde Nationale fut organisée en octobre 1791 sur tout le territoire français. L’ « adresse de la Garde Nationale d’Orliénas à ses concitoyens » est un document émouvant, témoignant du mysticisme des débuts de la Révolution, les citoyens étant tous « frères ». Cette lettre cherche à conjurer un écrit qui dresse les citoyens d’Orliénas contre ceux de Taluyers, ranimant des querelles ancestrales.

Par G. GARRIER

Une enquête de 1851 fait état de 29 métiers de veloutiers. Cet artisanat attire les jeunes paysans, même s’il y a une morte-saison. Une étude de 1848 conclut à l’endettement tendanciel du veloutier. Les veloutiers cherchent donc à gagner la grande ville toute proche.

Par G. VINCENT

Rappel de la carrière d’Alexandre Luigini (1848-1887), compositeur de musique symphonique, de ballets, violoniste et chef d’orchestre, et de son fils Ferdinand Luigini, peintre de paysages et de portraits et aquafortiste. Ils ont vécu à Orliénas et ont participé à la vie de la commune.

Par R. BARTHALAY

Rappel d’une série de manifestations qui se sont déroulées en 1956 à Orliénas pour évoquer ce musicien. Inaugurant la rue A. Luigini, le docteur Locard retraça sa carrière, et les cérémonies s’achevèrent par des fragments chorégraphiques dans le parc de la propriété Luigini.