Par A. HERNOUD

Par J. RIVOIRE

L’article est repris du N° 4 de la revue. François Presle, issu d’une lignée de marchands-aubergistes de Duerne, devient Maître de Poste à l’ouverture de la route royale en 1770. Acteur et témoin de l’histoire du village, il s’enrichit, mais il est victime de la Révolution, qui déclenche l’hostilité des habitants du village, et meurt en captivité à Lyon. La poste aux chevaux disparaît vers 1850.

Par M. -T. LORCIN

(Suite du N° 31) - Seuls les testaments peuvent donner une idée de la fortune des habitants de la ville. Il en ressort que certains artisans et surtout les notaires forment une « élite de l’argent ». Il y a un profond fossé entre riches et pauvres. L’évolution sociale des générations va de l’agriculture vers l’artisanat (textile ou cuir), puis de l’artisanat au commerce ou au droit. Certaines carrières sont connues, mais les entrepreneurs n’ont laissé aucun registre ou livre de comptes.

Par J. RIVOIRE

L’auteur a trouvé dans des archives privées un tarif de péage de 1659, indiquant entre autres que le droit de péage des livres est le plus bas de tous. On y relève aussi un antisémitisme qui ne semble pas avoir été noté par les historiens.

Par N. DELORME

Deux témoignages, l’un de Madeleine Rocher-Jameau, conservatrice du Musée des Beaux-Arts, l’autre du peintre lyonnais Jacques Truphémus. Morillon a formé avec d’autres peintres le groupe « assez révolutionnaire » des Ziniars. Il trouve sa voie dans le pointillisme, puis le cubisme, qui dérive de Cézanne.

Par J. -B. MARTIN

Ce texte « concernant la préparation du beurre et du fromage et celle du pain » est rédigé d’après une enquête inédite réalisée en 1974 par Christine Jamot. Les noms et les verbes patois sont insérés dans un texte français qui les met en relief.

Par P. LHOPITAL

Quatre petites anecdotes humoristiques, avec une pointe en patois.