Par M. GONON

Par A. JUBIN

Extraits de la brochure « Yzeron et ses environs » de l’auteur, « chemineau des montagnes du Lyonnais » (1870-1967). « Les membres de l’Araire reconnaissent comme l’un de leurs précurseurs » ce marcheur infatigable qui parcourait sans cesse l’Ouest lyonnais. Il questionnait, cherchait dans les archives, photographiait et dessinait. « Les paysans étaient des amis ; il les connaissait tous. » Il décrit ici le village et les hameaux traversés en retraçant leur histoire et parlant des personnalités qui y vécurent.

Par J. RIVOIRE

Les noms des rues rappellent souvent les demeures des familles qui s’y installèrent, à commencer par Clément Mulat, docteur ès lois et consul de la ville de Lyon au XVIe siècle, dont la commune (séparée de Sainte-Foy-lès-Lyon en 1885) tire son nom. Un plan de 1785 montre les vignes du Roule et rappelle que le vin de Sainte-Foy était fort apprécié des Lyonnais et des chanoines de Saint-Jean.

Par A. HERNOUD

Les Comtes de Lyon possédaient un château « qui protégeait l’église et les maisons du bourg ». Au XVIe siècle, il avait trois tours. Il fut détruit en 1820. Des documents citent une maison située dans le château, achetée en 1478 par un clerc de notaire, et des procès-verbaux de visites du XVIIIe siècle décrivant la maison de la dîme à l’intérieur des murailles. Mais on ignore son plan et son emplacement précis

Par C. JOMAND

Copie d’un acte notarié selon lequel le représentant d’un officier s’engage à fournir un remplaçant pour un jeune habitant de Saint-Martin. Son père, hypothéquant son bien, devra régler 800 F en cas de tirage au sort, 700 F « au cas où il ne serait pas atteint par le sort », ou 400 F s’il est réformé.

Par P. A.

Récit en patois d’une journée de batteuse, organisé autour du retour du fils, revenant de l’armée, et d’une farce faite à la maîtresse de maison. Une traduction en français aide ceux qui ne sont pas familiers du patois lyonnais. Les termes techniques, rendus dans les deux langues, sont expliqués avec précision.