Ancien numéro regroupant six articles.
Résumés des articles de la revue
Patrimoine Rhônalpin : relier le passé et le présent
Par R. NEYRET
L’association, née à Lyon en 1982, « réunit les animateurs de multiples groupements locaux (dont l’Araire) qui se mobilisent [...] pour la mise en valeur de toutes les formes de patrimoine ». La décentralisation régionale exige que les associations ne se présentent pas « en ordre trop dispersé ».
L’aqueduc romain à Saint-Didier-sous-Riverie, Saint-Maurice-sur-Dargoire et Saint-Jean-de-Touslas (suite du N° 63)
Par J. BURDY
Les ponts sont au nombre de huit. Ils méritent d’être vus, mais ils sont d’approche malaisée. L’article présente les trois communes et le passage de l’aqueduc sur leur territoire, puis il reprend l’ensemble de l’itinéraire avec la description des vestiges des ponts : Grand Bozançon, Petit Bozançon et la billannière-ouest.L’attaque de la malle sur la grand-route de Lyon à Paris
Par A. HERNOUD
Sous prétexte de chasse au lièvre, un homme recrute à son insu un de ses amis à Meys pour attaquer la diligence avec d’autres brigands à Saint-Loup. Poursuivis par les gendarmes, ils se réfugient en divers endroits. Mais indices et bavardages conduisent à leur arrestation. Les complices involontaires sont acquittés.Le mariage forcé du citoyen de Pierrefeu
Par M. REGNIER
Le 26 floréal An III, le citoyen Pierrefeu se plaint d’avoir été arrêté sans raison et surtout d’avoir été contraint par le maire et le procureur de Vourles d’épouser une domestique enceinte. En outre, ils lui ont extorqué 9000 livres. Il est donc devenu « le mari d’une bâtarde enceinte ». L’article reprend les déclarations des témoins, qui confirment la violence faite à Pierrefeu. Pour calmer les esprits, celui-ci retire ses plaintes contre la municipalité de Vourles.1779 - La punition nocturne
Par L. VIGNON
Un boucher de Vernaison est réveillé avec sa maisonnée en pleine nuit par des gens qui les agressent et les insultent violemment, les accusant d’avoir volé leurs canards.La prahiri de la Péroline
Par P. A.
Un conte en patois de Saint-Symphorien-sur-Coise, avec une traduction en français. Une lavandière prie chaque jour la Sainte Vierge de lui accorder sa « petite goutte à boire ». Son gendre veut lui faire passer cette mauvaise habitude et a recours à une ruse. Réussit-elle ? Lisez le conte !
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