Revue de l'Araire - N° 174 septembre 2013

Sommaire du N° 174

Si certains numéros de notre revue développent, pour le plus grand plaisir des connaisseurs, voire des érudits, des points d’histoire ou de culture déjà connus dans leurs grandes lignes – il n’est besoin que de citer notre dernier numéro concernant l’évolution de l’agriculture -, il en est d’autres, plus discret, dont le rôle consiste par maints côtés à lutter contre l’oubli qui pèse ou menace de peser sur tel objet, tel lieu, tel évènement, ou encore sur telle personnalité qui devrait jouir d’une célébrité bien méritée.

Nous commençons par une invitation souriante à entreprendre soi-même des recherches dans des archives a priori illisibles ou peu lisibles, actes ou textes manuscrits de plusieurs siècles, qui ne devraient pas rebuter leur lecteur, pour peu qu’il participe à une formation semblable à celle qu’évoque l’auteur. C’est ainsi que peut naître la vocation de chercheur !

L’évènement, c’est 1834, la « seconde » révolte des tisseurs de Lyon, qui reste étrangement à l’ombre de celle de 1831, bien plus connue, alors que la répression menée par l’armée de Louis-Philippe s’étendit, bien au-delà de la ville, sur les campagnes du Pays Lyonnais. L’article rend justice à des hommes, dont, bien souvent, on ne connaît que ce qui ressort des rapports de la police ou des tribunaux.

Bien différent, le second article traite de l’énigmes qui se pose aux gens qui longent la route allant du Pont-Rompu à Saint-Martin-de-Cornas : une pyramide portant une inscription en partie effacée. L’auteur, dans ses recherches, nous emmène bien loin de là, en Champagne, pour revenir à notre point de départ… Mais nous vous laissons le plaisir du voyage et de la découverte.

Les trains du Pays Lyonnais ont disparu, mais non les souvenirs nostalgiques des trajets, des voyageurs et de l’ambiance qui y régnait. Mais ce n’est là qu’une partie de ce qui reste enfoui ! A la Chapitelle, par exemple, on peut se demander où est passé le pont de la ligne qui menait de Saint-Just à Mornant. Là aussi, l’auteur nous fournira toutes les indications pour résoudre cette énigme.

Et surtout, voici Marie Bloch, une grande dame lyonnaise de la science astronomique, qui a mené ses recherches sa vie durant à l’observatoire de Saint-Genis-Laval (dont L’Araire a eu récemment le plaisir de relater l’histoire des origines, dans son numéro 169 de juin 2012). Guidée vers sa vocation par des professeurs qui pressentaient sa valeur, elle a suivi et devancé l’évolution de l’astronomie et traversé avec courage les aléas de l’histoire de son temps. Nous sommes fiers, disons-le, de publier la biographie de cette scientifique remarquable !

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